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| BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... | |
| | Auteur | Message |
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Birdie I. M. Caufield
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| Sujet: BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... Lun 30 Avr - 10:02 | |
| - Citation :
birdie ivy meredith caufield L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même.© tumblr, crusty reek YOUNG, WILD AND FREEPRÉNOM(S) ET NOM(S) Birdie Ivy Meredith Caufield. ÂGE 24 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE 31 octobre 1988. NATIONALITÉ irlandaise. TRAITS DE CARACTÈRES fragile, passive, gentille, docile, dévouée, rêveuse, douce, effacée, fidèle, charmante, plutôt facile à vivre mais compliquée, attentionnée, naturelle, désintéressée, lunatique, absolument pas matérialiste, ni même réaliste, hagarde, mystérieuse, paumée, perdue dans sa vie, désillusionnée, renfermée, timide, défaitiste et... schizophrène. GROUPE stay together for the kids.HELLO THERE, THE ANGEL FROM MY NIGHTMARE - Citation :
BLUE DREAM: Mon rêve le plus récurrent et surtout le plus secret ne me quitte ni la nuit ni le jour, et me hante tel un besoin avide et un manque cruel. Chaque nuit, je rêve de ma maison. Ma maison sur la falaise, celle qui est toute blanche avec ce petit toit de chôme d’où sort la fumée toute grise de notre cheminée. Cette petite maison si chaleureuse qui sent bon la verte prairie irlandaise et l’iode de la mer toute proche. Et je rêve de mon époux, à l’intérieur de cette maison, je rêve d’Ewan, mon amour, mon ami, mon amant, ma vie. Celui pour qui je tuerai, pour qui je renierai tout, jusqu’à moi-même. Mon mari qui rentre du travail et me serre dans ses bras, me couvre de baisers et d’attention, cet homme que j’aime tellement et qui représente toute ma vie. Et puis je serre aussi dans mes bras, mes deux enfants, mes deux adorables petits chérubins blonds aux joues roses et rebondies, dans lesquelles je croque à longueur de journée. Je rêve de cette vie rêvée, où je suis enfin heureuse et où j’ai enfin tout ce dont je rêve... - Citation :
NIGHTMARE: .. Et puis je rêve de cette nuit, où je me lève en sursaut de mon lit, lumière allumée, pour trouver mon mari, une valise à la main, qui part. Il descend les escaliers, je le suis en pleurant, criant, le suppliant de rester. Il sort sur le perron, puis marche vers une voiture dans laquelle l’attend une femme, une élégante femme blonde, qui est aussi grande, élégante et séduisante que lui, qui lui correspond tout à fait, et qui l’embrasse lorsqu’il monte dans sa voiture, et s’éloigne loin de moi. Alors je rêve de cette nuit horrible où éperdue de douleur, des larmes coulant en torrent creusant des sillons sur mes joues, je me dirige vers la cuisine, jette à terre tout ce qui se trouve à portée de mes mains, assiettes, couvert, plats, objets décoratifs, nourriture. J’ouvre les placards, je jette ce qu’il y a à l’intérieur, j’ouvre les tiroirs, idem, et je me saisis du couteau à pain. Toujours folle de chagrin et de rage, je me dirige vers le salon où mes deux adorables petits chérubins blonds aux joues roses et rebondies se tiennent serrés l’un contre l’autre, alertés par le bruit, descendus voir si on ne faisait pas de mal à leur maman et leur papa. Et je pense à leur papa, qui vient de partir, m’ayant supplanté par cette horrible poupée blonde falsifiée, je pense à leur papa qui les aime tellement, je suis jalouse de sa poupée blonde, je suis jalouse de mes chérubins, j’en veut à la terre entière, à la planète entière, et sans savoir pourquoi ni comment, le couteau à pain se plante violement dans la chair tendre et juvénile, se plane et s’enlève en des vas et viens monstrueux, dans un vacarme tonitruant. Et puis je rêve que je sors à mon tour de la maison, en fait le tour, monte dans notre pick-up garé à l’arrière, claque la portière et regarde sur la siège passager l’éclat argenté du couteau à pain tout tâché de sang, et roule vers le centre ville. Là, je m’arrête devant une maison, une maison bien précise, que je connais très bien de toute évidence. Le couteau caché sous mon imper, je sonne à la porte à de nombreuses reprises. Là, deux adorables petits chérubins blonds aux joues roses et rebondies apparaissent devant moi alors que la porte s’ouvre, les mêmes que je croyais avoir laissé chez moi, et derrière, une élégante femme blonde, qui est aussi grande, élégante et séduisante que mon mari demande « qui c’est ??? » et s’avance vers nous. Et je comprends enfin. Mon mari n’est pas mon mari, c’est son mari. Mes enfants ne sont pas mes enfants, ce sont leurs enfants. Effondrée, je dégaine mon couteau de sous sa cachette, et me jette sur la femme. Un coup au ventre la laisse sur le carreau. Puis vint le tour des enfants. Puis arrive mon mari, son mari, leur père. Et enfin, en sueur, terrorisée, le souffle court et les yeux exorbités, je me réveille dans mon lit et ses draps détrempés et tout froissés… YOU AND I'LL BE SAFE AND SOUNDIci, tu peux nous raconter les pêchés mignons de ton personnage, ses habitudes, sa musique préférée, son style vestimntaire, son caractère... tout cela résumé en quelques points, nous en demandons minimum quatre. mon premier pêché mignon, et hélas pour moi, il est au centre de ma vie et de mes problème, c'est ... mon psy. Mon psy que je consulte chaque semaine, mon psy si doux, si beau, si gentil avec moi, mon psy si attentif, mon psy si marié et si papa, mon psy dont je suis folle amoureuse. mon deuxième pêché mignon, c'est le chocolat, sans doute la seule chose que j'accepte de manger facilement et sans rechigner. tel un petit oiseau, je ne me nourri de presque rien, et ne suis pas une grande mangeuse. mais sans doute le magnésium contenu dans le chocolat agit sur moi comme une douce drogue bienfaitrice.. mon plus gros défaut ; la passivité. je subi ma vie, sans vraiment la vivre. sans être véritablement jalouse des autres, je suis plutôt envieuse du genre de vie qu'il mène quand je les compare à la mienne. j'envie ces personnes heureuses dans leur vie sociale, entourées d'amis, de famille et d'amour, j'envie ces personnes épanouie dans leur vie et leur travail. je les envie mais je ne fais rien, je me contente de les regarder et de rêver. de sourire, même si à l'intérieur je pleure. autre défaut ; ma timidité. cette timidité tellement handicapante au quotidien ! je ne suis pas le genre de fille extravertie que l'on voit enchaîner les conquêtes (mes rares expériences sentimentales par le passé ont toujours terminée extrêmement mal, surtout pour moi), sourire tout le temps, croquer la vie à pleine dent. moi je suis plutôt du genre renfermée, et attends qu'on vienne me trouver avant d'aller trouver les autres. autant dire que je suis une personne très solitaire. et puis enfin, mais cela j'imagine que vous l'avez déjà remarqué ; j'aime me confondre dans le pathos, c'est ce que je fais de mieux, m'a-t-on toujours dit.
I USED TO RULE THE WORLD
- Citation :
Je m’appelle Ivy Meredith Caufield mais tout le monde m’appelle Birdie depuis mon plus jeune âge, à cause de mes grands yeux d’oisillon tombé du nid et mon apparence frêle et chétive de petit oiseau. Je suis née le 31 octobre 1988, j’ai 24 ans. Le 31 octobre, le jour de la fête des morts, y a plus joyeux, hein ? Certainement un mauvais présage, dès que j’ai pointé le bout de mon nez dans ce monde…
J’ai eu une enfance plutôt banale (enfin…), vivant depuis ma naissance à Bray, cette petite ville d’Irlande que je n’ai jamais quittée une seule fois de toute ma vie. J’ai été « élevée » par ma mère, Mary-Jane, et ma grande sœur, Beth, de cinq ans mon aînée. Mon père, je ne l’ai jamais connu. D’après ce que j’ai entendu dire, c’était un « alcoolique notoire, qui fini sa chienne de vie en prison ». Autant dire qu’il y a mieux, pour démarrer dans la vie. Ma sœur l’a connu, moi non, et je peux affirmer sans doute que j’ai toujours manqué cruellement d’une présence masculine dans ma vie, d’une sorte « d’autorité » masculine. Ma sœur, justement. Heureusement qu’elle ne m’a jamais laissé tomber, elle. Depuis toujours, nous avons plus une relation « mère/fille » que fraternelle. Beth travaille dans une agence de pub, et a déménagé à Dublin, je ne la vois que très rarement, à mon plus grand regret. Ma mère – que j’appelle d’ailleurs Mary-Jane, et jamais maman, premièrement car cela ne m’est jamais venu à l’idée de l’appeler comme ça puisqu’elle n’a jamais vraiment tenu ce rôle à merveille, et deuxièmement parce qu’elle m’a toujours seriné de l’appeler par son prénom, et non maman – a sombré dans la dépression peu après le départ de mon père, je n’étais qu’une toute jeune enfant. Je ne l’ai toujours connue qu’affalée sur le canapé en train de regarder la télévision, ou couchée sur son lit dans le noir pendant plusieurs jours d’affilé, ou encore une boîte de cachets à la main, les yeux vitreux, sourire vague sur les lèvres.
Oui, autant dire qu’il y a mieux, pour démarrer dans la vie. Moi, j’ai essayé de m’en sortir du mieux que je peux, et je pense que ça ne va pas trop mal. Du moins, c’est ce que j’essaye de me faire croire à moi-même, c’est ce dont j’essaye de me persuader. Je n’ai jamais eu beaucoup d’amis, j’étais toujours l’éternelle « étrange petite Birdie », la petite brune toute maigre avec ces grands yeux bleus presque effrayants, flanqué de fringues usées jusqu’à la corde, l’apparence négligée et paumée. Ma seule véritable amie et compagne qui ne m’a jamais quittée, c’est la solitude. Autant dire que ma scolarité et mes études, dans ce genre de situation, n’ont pas été très brillante. Je me suis toujours dis que j’avais hâte de quitter l’école, le collège, et de travailler, de devenir adulte, d’avoir ma vie à moi, ma maison à moi, un mari qui m’aime et une ribambelle d’enfants que je chérirais tendrement. C’est même mon plus grand rêve. Ca l’a toujours été, cette envie, ce besoin vital ne m’a jamais quittée. Je n’ai pas été à l’école bien longtemps ; sans dire que je n’ai pas inventé la poudre, je n’ai jamais eu un potentiel incroyable, ou des dons innés pour la littérature, les sciences, ou même l’art. J’ai toujours était moyenne en tout, limite en tout, et ne me suis jamais vraiment passionnée pour quelque chose en particulier. J’enviais les filles de ma classe qui ne vivaient que pour la danse, ou la musique, ou l’écriture. Moi, je dansais bizarrement. Je chantais plus ou moins juste, mais pas « bien ». Je sais écrire, mais cela ne m’a jamais plu. Ma mère m’a toujours dit que je n’étais pas bonne à rien, si ce n’est à faire une bonne épouse et une bonne mère. D’où cette frustration perpétuelle, et ce manque d’ambition et d’épanouissement dans ma vie, aujourd’hui.
Ayant finies mes études tôt, et n’étant pas tout à fait majeure, il a fallu que je m’occupe. J’enchaînais les petits jobs, bossant un temps à la bibliothèque, au snack du coin, balayant au salon de coiffure, conseillant des dvd que je n’avais jamais vus et dont je me fichais totalement à la vidéothèque. Le boulot que j’ai gardé le plus longtemps, c’est celui que j’occupe toujours actuellement ; je suis serveuse dans un pub, pas très loin de mon petit appartement. Mon salaire n’est pas bien élevé, mais au moins les horaires ne sont pas très contraignant, le patron plutôt compréhensif, et j’ai de quoi boucler chaque fin de moi mon loyer (une fortune pour une cage à lapin aussi petite et mitoyenne !), et… mes séances chez le psy.
Car mon psy tient une place très importante dans ma vie. Grand, élégant, séduisant, tout juste la quarantaine, patient et doux, c’est l’homme le plus parfait et inaccessible que je n’ai jamais connu. Parfait, car il représente l’idée même que je me fais des hommes : une personne forte, solide, les pieds sur terre, aimant et tendre, quelqu’un que rien ni personne n’ébranle, tel un chêne au tronc et aux branches solides à qui moi, petit oisillon, peux me raccrocher. Inaccessible, car marié et papa de deux adorables petits chérubins blonds aux joues roses et rebondies, dans lesquelles on a envie de croquer à longueur de journée. Et dire que j’ai failli ne pas le connaître.
C’est une collègue du pub qui me l’a conseillé un jour de grande déprime où je ramassais des débris de verre après avoir fait tomber une choppe de bière, perdue dans mes pensées, m’attardant trop longtemps dans la contemplation des ses minuscules armes translucides et tranchantes tels mille couteaux pour que ça ne paraisse pas louche. Ewan Callaghan était désormais toute ma vie. Au début, j’y suis allée sans trop y croire, à contrecœur même, pensant que c’était de l’argent jeté par les fenêtres, alors que mis de côté, cet argent aurait pu me sauver la mise à un moment ou un autre. Pourtant, dès la première séance, le courant est immédiatement passé, et j’ai compris à quel point Ewan allait compter dans ma vie désormais. Cela fait maintenant plus d’un an que je le consulte. Et normalement, au bout de ce nombre élevé de séance, je devrais aller mieux. Pourtant, plus je le vois, et moins bien je vais. Ewan est pour moi comme une drogue dure, totalement additive, et destructrice. Plus je le vois, plus je l’aime. Et plus je me torture en me disant que lui ce n’est pas moi qu’il aime mais sa femme, et qu’il ne la quittera jamais.
Et j’en suis là de ma vie, ma vie idéale. Ma sœur est loin, je ne la vois jamais, elle me manque. Ce père que je n’ai jamais connu, même s’il ne gagne pas à l’être, me manque aussi. Et cette mère dépressive et dédaigneuse envers moi me manque, et me pousse à la détester en même temps. Mon travail n’est pas le plus épanouissant du monde, mes amis ne se compte même pas sur les cinq doigts de ma main, et le seul homme dont je me suis entichée et dont je suis follement amoureuse et marié, et ne semble pas comprendre ce que j’éprouve pour lui.
WE'LL MAKE THE GREAT ESCAPE
PSEUDO/PRÉNOM: BREEOCHE sur bazzart, Caroline pour les intimes. ÂGE: 21 ans. AVATAR: Félicity Jones, la magnifique. PRÉSENCE: plutot régulière, quotidienne même (si tout va bien). L'ENDROIT OÙ TU AS DÉNICHÉ LE FORUM : bazzart, grâce à ma petite audrey ! . COMMENTAIRE: omg, j'ai tellement attendu l'ouverture du forum, et j'suis tellement pas déçue, quel boulot fantastique, bravo à vous, ça déchire tout !
Dernière édition par Birdie I. M. Caufield le Jeu 3 Mai - 15:13, édité 4 fois | |
| | | Bony Ford
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| Sujet: Re: BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... Lun 30 Avr - 11:06 | |
| j'ai pas encore lu ta fiche mais t'as l'air motivé avec cette fucking rapidité ! bienvenue parmi nous | |
| | | A. Jayden Thwaites
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| Sujet: Re: BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... Lun 30 Avr - 12:38 | |
| Oh, Felicity Bienvenue! | |
| | | Birdie I. M. Caufield
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| | | | Bony Ford
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| Sujet: Re: BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... Lun 30 Avr - 15:21 | |
| ah c'est donc ça | |
| | | Birdie I. M. Caufield
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| | | | Bony Ford
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| Sujet: Re: BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... Lun 30 Avr - 18:00 | |
| la même ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... Lun 30 Avr - 18:07 | |
| Bienvenue Tu as finis ta fiche afin que je te valide? |
| | | Birdie I. M. Caufield
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... Lun 30 Avr - 18:12 | |
| Beh, pas besoin de te la réserver puisque tu l'as prise. Et au fait, merci pour les compliments, ça nous fait super plaisir. Je te valide, bon jeu! |
| | | Birdie I. M. Caufield
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| Sujet: Re: BIRDIE ϟ L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même... | |
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